VIVANTES
les
CABINET
Les Vivantes a obtenu la Résidence Mission en collège financée par le conseil départemental d'Eure et Loir et la Drac. Nous avons abordé plusieurs thématiques avec les élèves : l’injonction à la virilité, les clichés sexistes, la charge mentale, les droits des femmes, le genre dans le sport, la place des femmes dans la culture... En parallèle, nous leur avons fait découvrir plusieurs formes sonores : la capsule au futur moi, l’interview, la fiction, la parodie, le documentaire, le journal intime, le micro-trottoir...
Dresser l’inventaire d’une vie via le prisme du genre. Quelles ont été les évènements déterminants liés au sexe - maternité, paternité, service militaire, emploi, vie amoureuse etc.- de ces personnes âgées ? Que pensent-elles de l’évolution de la société? Ces femmes et hommes qu’on interroge si peu, qui se sentent parfois mises au ban de la société, ne serait-il pas intéressant de collecter leur parole? Connaître leurs expériences diverses, leurs parcours de vie. Il nous semble particulièrement intéressant d’interroger cette génération qui a vécu ce tournant dans les rapports de genre qu’ont été les années 60/70. Qu’est-ce que cela a changé concrètement dans leur existence, qu’en ont-ils.elles pensé à l’époque?
l'égalité des genres dans l'éducation est un enjeu crucial pour la création d'un monde plus égalitaire et respectueux des différences. C’est sur cette réflexion que notre compagnie est née. Aborder les thèmes liés à ce sujet, et avec toutes les générations, voilà notre ambition. Nous proposons donc des ateliers de réflexion ludique. Nous voulons encourager les adolescent.es à réfléchir aux comportements discriminatoires, comme l’utilisation d’un langage sexiste et la perpétuation des stéréotypes sexuels. Évoquer avec elles et eux des situations discriminantes, partager avec les élèves nos réflexions, et surtout pouvoir débattre et discuter, voilà ce que nos ateliers proposent. Développer la réflexion des élèves, tout au long de leur scolarité, sur la place des femmes et des hommes dans la société, constitue une condition essentielle pour amener filles et garçons à élargir leurs horizons professionnels.
l'égalité des genres dans l'éducation est un enjeu crucial pour la création d'un monde plus égalitaire et respectueux des différences. C’est sur cette réflexion que notre compagnie est née. Aborder les thèmes liés à ce sujet, et avec toutes les générations, voilà notre ambition. Nous proposons donc des ateliers de réflexion ludique. Nous voulons encourager les adolescent.es à réfléchir aux comportements discriminatoires, comme l’utilisation d’un langage sexiste et la perpétuation des stéréotypes sexuels. Évoquer avec elles et eux des situations discriminantes, partager avec les élèves nos réflexions, et surtout pouvoir débattre et discuter, voilà ce que nos ateliers proposent. Développer la réflexion des élèves, tout au long de leur scolarité, sur la place des femmes et des hommes dans la société, constitue une condition essentielle pour amener filles et garçons à élargir leurs horizons professionnels.
En France, 1 personne sur 5 est aidante. 60% des aidants sont des femmes. Le care serait-il une compétence et une valeur intrinsèquement féminines ? La dépendance des personnes âgées est une affaire de femmes. Elles sont en effet doublement concernées : majoritairement dépendantes et principales pourvoyeuses d’aide.En tant que compagnie axant son travail et ses créations sur le genre, ces chiffres nous ont bien entendu interpellées. Nous savons que les femmes prennent en charge le soin. La société nous enseigne que cela serait « naturel » chez nous, les femmes. Et cette croyance est fortement ancrée. Les femmes représenteraient l’attention à autrui et au proche, les hommes emblématiseraient l’autonomie et l’impartialité ; les femmes les activités domestiques, les hommes la vie active ; les femmes la sphère privée, les hommes la vie publique. L’éthique du care serait alors la reprise ou la confirmation de ces stéréotypes.
Au cinéma avec Virginie Efira, Vincent Lindon, dans le dernier film de Pierre Salvadori ou avec Tahar Rahim pour l'adaptation 2025 des Misérables, dans les séries D’Argent et de Sang de Xavier Giannoli, Bardot de Daniele Thompson, ou encore dans la saison II des Gouttes de Dieu, Caroline Gay tourne beaucoup et depuis longtemps.
Elle est également au théâtre avec Judith Bernard et la cie Ada, dans des créations documentaires sur l’état du monde.
Elle appartient à la compagnie Féminisme en Jeu, théâtre de l'opprimé questionnant les violences sexistes et sexuelles.
Elle investit dans le même temps le champ de la performances avec Angel Liegent et BI, formation piano, violoncelle, voix dans laquelle elle chante et écrit et qui tournera partout en France pendant trois ans, puis dans les Vénéneuses, cabaret inventé avec sa partenaire Florence Domec, et depuis peu avec son personnage Miss G. Chaque projet est pensé au travers du prisme du genre, domaine qui l'intéresse depuis pas mal d'années et qu'elle connait bien. Elle a longtemps mené des ateliers de clown et de marionnettes avec des enfants autistes. Elle prête sa voix à des musées nationaux, France Culture ou encore Arte. Elle a également suivi une formation de monteuse aux Gobelins, et réalise des objets vidéos ou sonores, pour le théâtre ou pour des groupes de musique.
Elle est originaire d’Eure-et-Loir et vit à Abondant (28410).
www.carolinegay.com
BONJOUR JE M'APPELLE CAROLINE GAY
